Une rentrée en mouvement(s) avec la Famille Cartophille
La Famille Cartophille a immortalisé la rentrée universitaire 2018 en photographiant l’élan des étudiant·es et des membres du personnel sur leur campus.
Initié par la Direction de la Culture et des Initiatives, l’événement a lancé la saison culturelle 2018-2019 de Nantes Université.
Des shooting photo décalés
Pendant le mois de septembre 2018, la Famille Cartophille a posé son appareil photo sur les campus Tertre, Lombarderie, en centre-ville, à La Roche-sur-Yon et à Saint-Nazaire, afin de rythmer la rentrée des étudiant·es et des personnels. En courant, en sautant, en écoutant les histoires d’Edmonde Cartophille, l’élan de rentrée des participant·es a été immortalisé en photo !
Les photos s’affichent en grand format sur les campus
Après le mois de septembre, des photographies prises ont été affichées en grand format sur les campus afin de valoriser cette initiative artistique, mettre à l’honneur les participant·es et d’habiller les campus.
Dancing au Pôle Étudiant
Le 29 novembre 2018, la Famille Cartophille a invité étudiant·es et personnels à découvrir en mouvement son univers « timbré depuis 1912 » et son histoire à travers les époques et les danses ayant marqué la famille. Les participant·es ont ensuite pu décrocher en musique leurs sauts de rentrée immortalisés !
Mouvement(s) en images
- Retrouvez toutes les photos des shooting décalés par ici, et celles du dancing par là !
- On vous en dit encore plus grâce à la vidéo réalisée par le Pôle Audiovisuel et Multimédia de l'Université :
La Famille Cartophille
Edmonde – aussi connue sous le nom de Françoise Chevillon, fondatrice du collectif –, Isabella, Luc-Ludovic, Rosabella, Dino, Basile et Sissi, constituent la Famille Cartophille. Leur pratique est réunie autour du mouvement, du jeu et de la danse, articulés dans un rapport sensible et universel afin que la création contemporaine soit à la fois exigeante et accessible à tous.
Leur espace de jeu se décline aussi bien pour la création d’œuvres infiniment petites qu’infiniment grandes, toujours empreintes d’actions, de trajectoires, d’élans, de sauts, d’émotions et de sensations trempées.
Tout ça pour finir en carte postale.
Car l’histoire familiale dit que de mère et père en fille et fils, on ferait de la carte postale en mouvement depuis 1912. Mythe ou réalité, va savoir ?
La culture à l'université
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