Témoignage - Annaëlle, partie en mobilité 10 mois en Finlande
[Portrait réalisé en octobre 2023]
Crédits photos : CLACK - David GALLARD
Suite à deux années de classe préparatoire littéraire, Annaëlle avait besoin de changement dans ses études, et avait le projet de partir en Erasmus depuis plusieurs années, pour découvrir une autre culture et d'autres manières d'enseigner. Elle a apprécié l'opportunité de partir en échange dans un pays européen, et de suivre des cours en anglais.
En Finlande, Annaëlle a découvert de nouvelles manières d'enseigner et d'évaluer les connaissances, sous des formes aussi diverses que des examens oraux sous forme de podcast, d'écrit à la main ou sur ordinateur, de mémoire à faire chez soi, ou encore des examens basés sur l'étude de livres. "J’ai eu la liberté de choisir mon sujet pour mes mémoires et pour quelques examens basés sur des livres, ce qui m'a vraiment plu car j’ai pu explorer des sujets qui m’intriguait."
La mobilité a permis à Annaëlle d'enrichir son parcours avec des cours complémentaires à sa licence, de découvrir l'histoire, la culture et les paysages des pays nordiques et baltiques, de rencontrer des étudiants du monde entier avec qui elle a tissé des liens solides et de se créer des souvenirs précieux. Annaëlle conclut avec un dernier conseil pour tout autre étudiant s'interrogeant sur une mobilité :
Crédits photos : CLACK - David GALLARD
Suite à deux années de classe préparatoire littéraire, Annaëlle avait besoin de changement dans ses études, et avait le projet de partir en Erasmus depuis plusieurs années, pour découvrir une autre culture et d'autres manières d'enseigner. Elle a apprécié l'opportunité de partir en échange dans un pays européen, et de suivre des cours en anglais.
L'envie de partir et de dépasser ses limites
Au moment de réaliser son rêve de partir en échange, Annaëlle était guidée par l'enthousiasme et la hâte de découvrir un nouvel environnement, plus que par la peur, mais quelques appréhensions subsistaient. "Je pense que ma plus grande appréhension était de réussir à rencontrer des personnes là-bas et à m’intégrer. Mais l’envie de partir a pris le dessus et je me suis dit que c’était le moment de me confronter à mes peurs et de dépasser mes limites."
Sur le plan financier, Annaëlle donne un précieux conseil : "Il faut avoir mis de côté à l’avance ou avoirs des soutiens financiers (ses parents par exemple) lors de la mobilité, car la première partie de la bourse (70%) n’arrive qu’en octobre de son Erasmus, et les 30 % restants en octobre-novembre de l’année d’après." Annaëlle recommande également de se renseigner en amont sur le coût de la vie du pays de l'échange, mais aussi de la ville dans laquelle on part étudier, car les variations peuvent être importante dans certains pays. Il faut également savoir qu'il est possible de trouver des petits jobs étudiants en Erasmus, et Annaëlle précise qu'il ne faut pas hésiter à demander s'il existe des réductions étudiantes une fois dans le pays d'accueil, car elles ne sont pas toujours affichées.
Sur le plan financier, Annaëlle donne un précieux conseil : "Il faut avoir mis de côté à l’avance ou avoirs des soutiens financiers (ses parents par exemple) lors de la mobilité, car la première partie de la bourse (70%) n’arrive qu’en octobre de son Erasmus, et les 30 % restants en octobre-novembre de l’année d’après." Annaëlle recommande également de se renseigner en amont sur le coût de la vie du pays de l'échange, mais aussi de la ville dans laquelle on part étudier, car les variations peuvent être importante dans certains pays. Il faut également savoir qu'il est possible de trouver des petits jobs étudiants en Erasmus, et Annaëlle précise qu'il ne faut pas hésiter à demander s'il existe des réductions étudiantes une fois dans le pays d'accueil, car elles ne sont pas toujours affichées.
Une complémentarité des expériences
Le choix d'Annaëlle d'étudier à l'université de Turku, en Finlande, a été dicté principalement par des critères académiques : "Ce qui m’a attiré en Finlande, c’est la très bonne réputation du système éducatif." Elle souhaitait suivre des cours en anglais, rester dans l'Union européenne, et suivre des cours complémentaires à ceux qui était proposé à Nantes Université. Annaëlle a donc décidé de se renseigner sur les cours proposés par l'université de Turku, et les périodes et aires géographiques étudiées en histoire l'intéressaient particulièrement (Asie du sud-est, URSS, Finlande, la religion au Moyen-Âge, les enfants dans l'Antiquité...), ce qui a motivé son choix. Et le fait de découvrir la capitale historique de la Finlande, l'hiver finlandais et la neige, a définitivement achevé de la convaincre !L'accompagnement de l'université d'accueil a été déterminant, et Annaëlle n'a eu aucune difficulté à contacter l'administration ou les professeurs, afin de vérifier que les cours choisis correspondaient bien aux équivalences demandées par Nantes Université par exemple, ce qui est très important. L'université a également proposé des logements aux étudiants en échange, et offre la possibilité d'opter pour un forfait étudiant permettant de s'équiper avec le nécessaire pour les nouveaux arrivants (couette, oreiller, couverts...).J’ai pu apprendre et approfondir des périodes de l’histoire que ne proposait pas forcément Nantes Université, et découvrir de nouvelles méthodes de travail.
En Finlande, Annaëlle a découvert de nouvelles manières d'enseigner et d'évaluer les connaissances, sous des formes aussi diverses que des examens oraux sous forme de podcast, d'écrit à la main ou sur ordinateur, de mémoire à faire chez soi, ou encore des examens basés sur l'étude de livres. "J’ai eu la liberté de choisir mon sujet pour mes mémoires et pour quelques examens basés sur des livres, ce qui m'a vraiment plu car j’ai pu explorer des sujets qui m’intriguait."
La mobilité a permis à Annaëlle d'enrichir son parcours avec des cours complémentaires à sa licence, de découvrir l'histoire, la culture et les paysages des pays nordiques et baltiques, de rencontrer des étudiants du monde entier avec qui elle a tissé des liens solides et de se créer des souvenirs précieux. Annaëlle conclut avec un dernier conseil pour tout autre étudiant s'interrogeant sur une mobilité :
Si vous en avez envie, foncez ! C’est une superbe expérience sur tous les points !
Mis à jour le 13 décembre 2023.